retour sur le Mardi 24 octobre 2023, deuxième étape sur le GR169 … de Brignais au fort du Bruissin

La météo annonçait un temps pourri, et certains y ont cru. Eh bien ils ont eu tort !
Après un court et petit crachin au départ de Brignais, pas une goutte toute la matinée. A midi, le casse-croûte avalé, un bord de nuage a cru bon de laisser tomber 4 gouttes, et puis plus rien.
Et nous avons terminé sous un beau soleil revenu saluer les marcheurs. Étonnant non !

Soulignons aussi que pour démarrer les marches à l’heure, les transports en commun s’avèrent plus fiables que les voitures individuelles !

 À 9h15 le groupe s’active direction Brignais centre ; un peu de plat sur petites routes pour se chauffer les jambes, suivi d’un premier raidillon caillouteux pour mieux redescendre vers un morceau d’aqueduc romain du Gier.

Après la discothèque Miami Club-Lyon (heureusement fermée à cette heure matinale !), traversée du Garon et passage sous un nouveau petit bout d’aqueduc ; le chemin remonte jusqu’à la ferme de la Dame Blanche (centre équestre) et la banlieue de Chaponost.Midi a sonné, tout le monde trottine bien – vrai que quand on discute dans la bonne humeur, les kilomètres défilent presque sans douleur (appréciez la rime svp)- mais ça commence à faire faim !

 

12h30, sauvés ! Sabine, notre organisatrice en chef, nous a déniché dans un angle d’aqueduc en cours de restauration, une belle pelouse équipée de tables et bancs. L’occasion de se restaurer et de souffler un peu.

Sabine et Philippe

13h20, c’est reparti sous 4 gouttes (les précautionneux ont mis la cape de pluie, d’autres non), mais ça ne dure guère. Et ça n’empêche pas la bonne humeur ; voyez donc !

Xavier et Isabelle

Mais nous avons perdu Sabine souffrant trop d’une entorse ; pas contractée sur les difficultés du chemin, mais juste en sortant de son lit de bon matin !
Le chemin descend gentiment sous les frondaisons et, passé Francheville-le-Bas, serpente sur les rives de l’Yzeron. Y’a du nerf dans cette bande de marcheurs chevronnés. Le soleil revenu, les kilomètres défilent comme dans un rêve et à 15h (une heure avant les prévisions les plus optimistes) nous arrivons au fort du Bruissin.

Le temps d’en faire le tour (toujours ça de gagné pour la prochaine fois), d’échanger encore quelques mots et chacun s’engouffre dans le bus ou sa voiture. Ah que voilà une belle journée !

 

 

Prochaine étape le 5 novembre, du fort du Bruissin à Charbonnières :

(18 kilomètres pour les très bons marcheurs, ou 9,4 km pour ceux qui veulent faire court), 

sous la houlette de Gérard Ayel et Jean-François Pau. 

Venez nombreux, vous ne le regretterez pas.

 

Ultréïa.
Bernard

 

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