Au fil des pérégrinations, le pèlerin ou la pèlerine, découvre vite que selon le chemin, il (elle) n’a pas les mêmes attentes en matière d’accueil et que son ressenti varie d’un type d’hébergement à l’autre.
Lorsqu’on entame son premier chemin, on n’imagine pas forcément que ce ne sera pas l’unique. Une fois de retour, on comprend vite que repartir devient une nécessité, presque un impératif. C’est ce qui m’est arrivé, comme à beaucoup d’entre nous. Au gré des envies, les années suivantes on va se retrouver sur des chemins plus ou moins longs et plus ou moins fréquentés.